Avancer (dé)masqué

Aux confins

J’ai toujours aimé cette préposition. Elle nous emmène en voyage, en expédition. Elle nous rappelle que nous sommes des aventuriers. Nos âmes SONT aventurières. Elles sont taillées pour aller aux confins de nos « et moi et moi » et puiser à la Source du Vivant.

Renverser la (Va) Peur !

La question du jour : être contraint à l’isolement, est-ce que cela ne pourrait pas être une opportunité de rencontre ?

Avez-vous remarqué comme la langue, française en l’occurence, est subtile ? Quand l’infinitif est transitif indirect, le confinement consiste à « être proche« . Et quand il est transitif direct, il signifie que nous sommes forcés à rester dans un espace restreint, à nous isoler.

La contrainte est créative

C’est ce que tout bon animateur en atelier d’écriture par exemple, propose, des contraintes. Et si pendant ces journées à venir, nous jouions avec la contrainte « demeurer chez soi » et si nous renversions la (va) Peur en osant « revenir à la maison« , revenir à SOI, revenir à NOUS, qui en grec (si je me rappelle bien) signifie l’Esprit ?

Je vote pour le Mouvement de la libération des masques !

Que nos masques tombent, que le virus de la peur cède sa place au remède de l’Amour, que les opposés se rejoignent enfin.

 

〉Ecrire à L’Atelier des M.O.T.S.

Oser la hardiesse !

22, v’la 2020 !

Ma formatrice en tarot de Marseille, Claude de Milleville, a inventé dans les années 80 une méthode.

La nombrologie, comme son nom l’indique, est basée sur le langage des nombres. Imaginez : vous dites un nombre et, sans en être conscient, vous dites qui vous êtes.

Je me souviens d’une émission animée par Hervé Meillon sur RTL.

Je faisais à l’époque (il y a bien 20 ans) office d’attachée de presse et je l’avais amenée sur le plateau où elle fit sensation.

L’animateur demanda à Claude d’interpréter en direct un nombre dit par Jacques Salomé qui était également présent ce soir là.

Le thérapeute fut bluffé car ce que la nombrologue annonça au public, c’était rien moins que le changement de vie qu’il avait décidé en secret quelques jours plus tôt.

 

Bref, j’évoque le souvenir de ces heures joyeuses où j’appris en compagnie de cette dame oh combien fantasque le sens des nombres et des lames du tarot parce qu’en clôturant 2019, j’ai réalisé que 2020 était une année 2 + 0 + 20 = 22.

2020, une année 2 + 0 + 20 = 22. Mais encore ?

Et bien, 22 dans le tarot, c’est le mât, c’est-à-dire celui qui largue ses amarres intérieures pour répondre à l’appel de son âme et oser vivre, dans la joie et la légèreté, sa légende personnelle, la grande Aventure à laquelle la Vie l’invite.

2020 serait donc une année propice à l’audace.

Audace pour nous détacher de ce qui enchaîne et nous élancer en toute liberté vers ce qui nous fait vibrer et sentir profondément vivant, en accord avec nos valeurs, corps-coeur-esprit alignés.
Personnellement, j’espère avoir cette audace à quitter les ombres du passé.

Qu’en 2020, je sois Hardie ! Que le nom que je porte me porte. Qu’il me donne l’énergie et le courage de chevaucher le Présent et de créer une nouvelle réalité. Et vous ? Qu’en pensez-vous ?

 

〉Le Tarot de Marseille à L’Atelier des M.O.T.S.

2020 Année Miroir

2 + 0 + 2 + 0 = 4

2020 n’est pas une année banale. Notamment, parce que c’est une année Miroir composée de deux nombres, 20, qui sont comme en miroir l’un de l’autre. A gauche, il y aurait notre monde intérieur et à droite, le monde extérieur.

 

Invitation à relier l’un et l’autre. Invitation à la Cohérence et à l’Intégrité.

 

2020, c’est aussi une année 4. Mais un 4 issu de deux 20. En langage Tarot de Marseille, la lame 20 est celle du Jugement. On y voit un ange sonner trompette au-dessus d’une tombe d’où se lèvera d’entre les morts celui qu’attendent trois personnages que nous voyons de dos.

 

La lame 4, elle, est celle de l’Empereur et est en lien avec notre territoire, notre capacité à prendre notre place, à gouverner notre vie dans ses aspects les plus matériels et concrets.

J’imagine 2020 une année d’Eveil. Un peu comme si l’univers conspirait pour que nous sortions de nos conditionnements de survie, pour que nous devenions pleinement Vivants. 

2020 ANNEE MIROIR

Une année pour se demander :
comment accorder notre monde extérieur à notre intériorité ?

A cette question, L’Atelier des M.O.T.S. répond :  en nous reliant à l’Artiste en soi

C’est ainsi que, tout au long de l’année 2019-2020, un accompagnement, soit individuel soit en groupe, vous est offert.
Il s’agit, par la pratique d’un art (écriture, peinture, dessin, collage…) de s’éveiller à un mode de pensée plus global.

Dans ce cadre, diverses médiations sont proposées afin d’interroger nos certitudes et d’expérimenter en toute sécurité et bienveillance de nouvelles attitudes :

médiation par les textes littéraires, l’écriture, le dessin, le photolangage, les contes de Grimm, le Vedic-Art, le tarot de Marseille, le Yi Jing, les Conversations narratives,…

Très bonne année à vous !

 

〉L’Atelier des M.O.T.S.

Impressions de voyage

L’expérience d’Alexandra

Deux journées de découverte du Vedic Art. Il s’agit d’un processus issu de la tradition védique qui nous aide à développer et libérer notre créativité à travers la peinture, selon 17 lois naturelles.

24 juillet : j’ai été frappée par l’évolution de ce que j’ai déjà pu réaliser en une seule après-midi. Il n’est pas nécessaire de savoir peindre pour cela, on se laisse guider par son élan, son intuition.

 

Le but est de faire fonctionner le cerveau droit, libérer l’artiste en nous et laisser de côté le cerveau gauche, le rationnel.

Les moments de création sont méditatifs. Dans la première création, j’ai ressenti le besoin de tout jeter ce que je pouvais sur le papier, le déverser, me décharger. C’était très intense, j’étais debout, comme dans l’urgence et l’envie de saturer le papier de couleurs, remplir le vide. Sans me poser de questions et du coup sans presqu’une respiration.

Explorant le mélange des couleurs, expérimentant différents outils (pinceaux, éponges, mes doigts, brosse à dent, racloir, etc.). C’était tellement intense, brut, cash (je cherche le bon mot), d’une traite, que j’ai dû me (re)poser après cela et respirer plusieurs minutes. Je me sentais vidée et libérée de ce que j’avais expulsé. Ancrée.

Ensuite, peu à peu, pour les créations suivantes et en fonction des consignes (rajouter du relief entre autres), j’ai pris un autre rythme, introduit progressivement plus d’espaces et de légèreté, pour terminer dans une franche gaieté. Tout cela s’est fait spontanément, instinctivement, naturellement. Impressionnant. Créer, c’est tellement amusant ET enrichissant ! Belle expérience… Merci à Patricia, notre guide et accompagnatrice ! La suite, demain !

25 juillet

Vedic Art – jour 2 terminé. Encore une belle évolution, vers plus de douceur et d’apaisement…

Deux expériences pour le prix d’une: d’abord peindre, et puis par temps de canicule ! Mais nous avons survécu ! Cela n’a pas altéré notre concentration ni l’intensité du processus créatif, même si la lourdeur s’est fait ressentir par moments. Et la fatigue, en fin de journée. Il me reste à renouveler l’expérience en hiver par – 10 pour comparer !

2 août

Je suis ravie de cette découverte et constate après une semaine que mon horizon intérieur et créatif s’élargit chaque fois que je regarde mes créations ! J’observe aussi laisser plus de place à mon envie de créer, avec davantage de fluidité. Je retrouve confiance en mon potentiel. Pour différentes raisons (dont deux ateliers d’écriture aux mois de mai et juin, un nouveau travail énergétique entamé, notamment au contact des chevaux), la chape de plomb qui m’encombrait ces derniers mois semble s’être progressivement évaporée. Touchons du bois.

Vers la mi-juin, je me suis d’abord remise à écrire des mots en vrac sur ce blog, textes appelés eux aussi « créations ». Puis ai repris l’écriture de mon troisième roman. Ces deux journées des 24 et 25 m’ont cependant semblé déterminantes, une apogée, tant ce fut un feu d’artifices de couleurs, de gestes, d’intuitions. Je suis amusée en relisant ce que j’avais écrit sur le support assiette lors du premier atelier d’écriture au mois de mai ! Le Vedic Art était ce dont j’avais besoin !

Je prends le temps d’intégrer cela, de canaliser cette nouvelle énergie et poursuivrai l’exploration du Vedic Art.

Alexandra

〉Peinture et Vedic-Art à L’Atelier des M.O.T.S.

Invitation

L’invitation 

« Je ne m’intéresse pas à la façon dont tu gagnes ta vie,
Je veux savoir à quoi tu aspires,
Et si tu oses rêver de réaliser le désir ardent de ton cœur.

Je ne m’intéresse pas à ton âge.
Je veux savoir, si pour la quête de l’amour et de tes rêves,
Pour l’aventure de te sentir vivre,
Tu prendras le risque d’être considéré comme fou.

Je ne m’intéresse pas aux astres qui croisent ta lune.
Je veux savoir si tu as touché le centre de ta propre souffrance,
Si les trahisons vécues t’ont ouvert,
Ou si tu t’es fané et renfermé par crainte des blessures à venir.

 

Je veux savoir si tu peux vivre avec la douleur, la tienne ou la mienne,
Sans t’agiter pour la cacher, l’amoindrir ou la fixer.

Je veux savoir si tu peux vivre avec la joie, la tienne ou la mienne,
Si tu oses danser, envahi par l’extase jusqu’au bout de tes mains, de tes pieds
Sans être prudent ou réaliste et sans te souvenir des conventions du genre humain.

Je ne m’intéresse pas à la véracité de l’histoire que tu racontes.
Je veux savoir si tu es capable de décevoir quelqu’un pour rester fidèle à toi-même,
Si tu supportes l’accusation d’une trahison, sans pour autant devenir infidèle à ton âme.

Je veux savoir si tu sais faire confiance, et si tu es digne de confiance.
Je veux savoir si tu peux voir la beauté, même lors des jours sombres
Et si tu peux trouver la source de ta vie dans la présence de cette beauté.

Je veux savoir si tu peux vivre avec l’échec, le tien ou le mien,
Et malgré cela rester debout au bord du lac
Et crier : « Oui ! » au disque argenté de la lune.

Je ne m’intéresse pas à l’endroit où tu vis ni à la quantité d’argent que tu as.
Je veux savoir si après une nuit de chagrin et de désespoir,
Tu peux te lever et faire ce qui est nécessaire pour les enfants.

Je ne m’intéresse pas à ce que tu es, ni comment tu es arrivé ici.
Je veux savoir si tu peux rester au centre du feu avec moi, sans reculer.

Je ne m’intéresse pas à ce que tu as étudié, ni où, ni avec qui.
Je veux savoir ce qui te soutient de l’intérieur, lorsque tout le reste s’écroule.

Je veux savoir si tu peux être seul avec toi-même,
Et si tu aimes véritablement la compagnie de tes moments de vide. »

Oriah Mountain Dreamer et Patricia Le Hardy

Activation de synchronicités

Appeler le champ quantique

Nous nous percevons selon une image qui trouve son origine dans nos conditionnements, explique Jean-Pascal Debailleul, coach et conteur. Ainsi, les questions vitales de notre vie sont-elles souvent difficiles à résoudre.

Sa proposition ? Quitter le positionnement qui nous fait tant souffrir et appeler des réponses du champ quantique.

Une clé d’activation du processus est de faire comme si notre cœur avait trouvé satisfaction.

Cette posture attire littéralement des informations auxquelles il convient de prêter attention. Nous allons devoir faire face à toutes nos résistances au changement et à nos peurs !

Cette dynamique activatrice de synchronicités s’accompagne en effet d’une accélération qui va être porteuse d’opportunités. Le problème est qu’elles sont rarement celles que nous attendions…

Que ce soit un voyage, un déménagement, une promotion, une rencontre… Surprenant, inattendu est le maître mot. Il va falloir continuer à maintenir la fréquence du questionnement et se lancer dans l’aventure proposée, y compris la plus déraisonnable.

Se protéger des assauts internes tels que la peur, le désir de contrôler, la volonté, l’attachement au résultat est indispensable.

Pour Jean-Pascal Debailleul, il faut faire un travail de dépassement initiatique, et s’ajuster à ce monde du Tout possible.

Comment ? En apprenant à vivre en abandon face à ce que l’on ne comprend pas.

Nous en avons la capacité, il existe au cœur de nos cellules un modèle d’accomplissement, notre propre modèle de croissance. C’est notre ADN qui sait, pas notre mental trop étroit.

 

〉La Voie des Contes à L’Atelier des M.O.T.S.

Jubilatoire

Oublie qui tu es. Disparais dans tout ce que tu regardes.

Je dis toujours à mes élèves, surtout les dix-onze ans, ceux qui sont en train de devenir des petits connaisseurs du monde :

« Débranche ton esprit logique qui pense que 1 + 1 = 2. Ouvre ton esprit à la possibilité que 1 + 1 = 48, ou une Mercédes Benz, ou une tarte aux pommes, un cheval bleu ».

Ne raconte pas ton autobiographie avec des faits : j’ai onze ans, je suis un garçon, j’habite à Owatonna, j’ai une mère et un père.

Dis-moi qui tu es vraiment : « Je suis le givre sur la vitre, le cri d’un jeune loup, un frêle brin d’herbe ».

Deviens entièrement chaque émotion que tu ressens, brûle en entier avec elle. N’aies pas peur, rapidement ton ego deviendra anxieux et mettra fin à cette extase…

 

Mais si tu peux saisir le sentiment, l’odeur ou la vision par des mots au moment où tu es un avec lui, vraisemblablement, tu auras un très bon poème.

Et puis, tu retombes à nouveau sur terre. Seule l’écriture garde la grande vision.

Voilà pourquoi nous devons encore et toujours retourner à des livres, de bons livres, et lire et relire les visions de qui nous sommes, de comment nous pouvons être : cette lutte qu’on livre tous les jours en tant qu’êtres humains pour nous traiter nous-mêmes avec compassion, et montrer de la gentillesse les uns envers les autres.

Les Italiques jubilatoires, La créativité par l’atelier d’écriture, Nathalie Goldberg

 

〉L’écriture et la lecture à L’Atelier des M.O.T.S

La magie de la Vie

Denis Cherim, Projet Coïncidence

Coïncidences et synchronicités

Avec un œil pour des juxtapositions inhabituelles et des moments heureux et aléatoires où l’univers semble se synchroniser, le photographe Denis Cherim est là avec son appareil photo pour apercevoir ce que d’autres personnes ne peuvent pas voir.

Son Projet Coïncidence nous amène à faire un lien avec ce qu’écrivait Karl Gustav Jung et l’interview de Jean-Pascal Debailleul récemment publiée dans le magazine Inrees :

 

 

Karl Gustav Jung

A mesure que la connaissance scientifique progressait, le monde s’est déshumanisé. L’homme se sent isolé dans le cosmos, car il n’est plus engagé dans la nature et a perdu sa participation affective inconsciente, avec ses phénomènes. Et les phénomènes naturels ont lentement perdu leurs implications symboliques.

Le tonnerre n’est plus la voix irritée d’un dieu, ni l’éclair de son projectile vengeur. La rivière n’abrite plus d’esprits, l’arbre n’est plus le principe de vie d’un homme, et les cavernes ne sont plus habitées par des démons. Les pierres, les plantes, les animaux ne parlent plus à l’homme et l’homme ne s’adresse plus à eux en croyant qu’ils peuvent l’entendre. Son contact avec la nature a été rompu, et avec lui a disparu l’énergie affective profonde qu’engendraient ses relations symboliques. 

Jean-Pascal Debailleul

Nous vivons, la plupart du temps, de façon limitée. Or, nous sommes au cœur d’un champ quantique d’informations disponibles, mais nous ignorons bien souvent comment y accéder. Les contes sont porteurs d’un modèle de synchronicités actives, en comprendre le fonctionnement peut nous permettre de reproduire ses expériences, en nous appuyant sur des clés de sagesse. 

C’est parce que nous sommes dans l’attente d’une solution déterminante à une question essentielle que tout à coup il y a un alignement entre le monde du tout possible et notre réalité ! Comme le fils du meunier, dans le conte du Chat Botté, qui se retrouve sans héritage à la mort de son père. Ces situations en apparence « désespérées », nous obligent en quelque sorte à nous intéresser à notre grand rêve d’accomplissement, et à nous mettre en quête ! Alors la vie va nous donner des expériences spécifiques. 

 

〉La Voie des Contes à L’Atelier des M.O.T.S

Je suis l’Espace

Photo Mark Dumbleton

Je ne suis ni mes pensées ni mes émotions ni mes perceptions sensorielles.

Je ne suis pas le contenu de ma vie.

Je suis l’espace dans lequel toutes ces choses s’inscrivent. 

Cette citation d’Eckhart Tolle me porte et me transporte depuis quelques jours.

Est-ce possible que la vie, cela soit aussi simple que ça ?

Quand je peins, quand j’écris, ce n’est pas ma production qui importe. Il n’y a rien à authentifier, prouver, justifier.

 

Ce qui compte vraiment, c’est cette première fois, qui se renouvelle à chaque instant.

Lorsque je peins, je ressens très fort cette ouverture, cette possibilité d’un éternel recommencement avec… la même toile.

J’aime peindre. J’aime vivre !

 

〉Peindre à L’Atelier des M.O.T.S.

Les tablettes à l’école

A marée haute, Acrylique, PLH

Ecriture manuscrite, ou pas…

Gros débat à la radio  au sujet de l’entrée massive des tablettes à l’école et des formations nécessaires aux enseignants pour qu’ils sachent utiliser eux-mêmes la technologie.

Mais, pas de panique, bientôt, ce sont les gamins qui vont donner cours à leurs professeurs !

Sérieusement, quelle régression que cette virtualisation de l’Education Nationale. Car il y a une chose fondamentale qui est mise aux oubliettes des temps modernes :

oeuvrer avec ses mains, c’est se vider la tête et se connecter à son coeur, une question de méridiens énergétiques peut-être, mais surtout de bon sens.

Qu’on ne s’y trompe pas : aller avec ce temps de la modernité, c’est reculer.

 

 

Un apprentissage digne de ce nom, qui est une invitation à la Sagesse et à un REEL art de vivre, passe par la valorisation et la connaissance du VIDE.

Nonante pour cent de la matière est constituée de vide et nous persistons à remplir le crâne de nos enfants, oublieux que nous sommes qu’une tête bien faite qu’une tête faite vaut mieux qu’une tête bien pleine.

Connais-toi toi même et tu connaîtras le monde = connais le VIDE dont tu es plein !

Nous venons au monde riches d’une mémoire qui, s’y nous n’y prenons pas garde, nous maintient dans le passé. En privilégiant la relation directe entre nos coeurs et nos mains, en réunissant nos différents cerveaux, ceux de la tête, du coeur et du ventre, nous ne sommes pas passéistes, que du contraire !

Nous allons de l’avant, libérés des chaînes ancestrales et prêts à construire un monde vraiment neuf.   

 

〉La Graphothérapie symbolique à L’Atelier des M.O.T.S